LOMLA, c’est un cri collectif, une urgence électrique. Quatre musiciens — Séb (chant-guitare), David (guitare), Joe (basse) et JB (batterie) — qui ont choisi les amplis pour dire ce que les mots seuls ne suffisent plus à porter.
Nourri de rock français et sans concession, LOMLA tisse une musique viscérale, rugueuse, mais toujours humaine. Des textes en français, taillés dans la chair, où se croisent révolte sourde, colères lucides et éclats de lumière. Une guitare qui gronde, une batterie qui cogne, une basse qui ancre, une voix qui tranche. C’est brut, parfois beau, jamais tiède.
Sur scène, c’est l’instinct qui parle. Chaque concert est une décharge, un appel à rester vivant dans un monde qui dort. LOMLA, c’est plus qu’un groupe : c’est une claque sonore, une main tendue, une lame douce qui gratte là où ça fait du bien.